
La première fois que cela m’est arrivé, je revenais de week-end avec Sébastien. Nous étions fraîchement mariés, et tout était encore si nouveau et excitant que nous ne pouvions pas toujours attendre d’être de retour à la maison pour satisfaire nos envies.
Ce soir-là, Sébastien conduisait, et j’ai eu envie de m’amuser un peu à ses dépens. Je ne savais pas encore que j’allais découvrir une nouvelle facette de moi-même. Ma main s’est posée sur la queue de Sébastien, que j’ai effleurée tendrement à travers son pantalon. En quelques instants, elle a réagi à ma caresse, durcissant et se pressant contre le tissu. J’ai ouvert sa braguette, libéré son bel instrument et commencé à le branler d’un mouvement lent et appuyé.
Peu après, Sébastien a quitté la ligne droite et pris une sortie. Nous avons roulé sur une route parallèle et nous nous sommes arrêtés dans le parking d’un restaurant en bord de route. Il faisait nuit noire. Nous nous sommes dirigés vers le fond du parking, à l’abri des regards, sous un lampadaire. Nous étions seuls.
Très impatiente de poursuivre mes caresses, j’étais excitée par le parfum viril de la queue de Sébastien. Je me suis penchée vers lui et j’ai recueilli le gland entre mes lèvres. Le goût de sa pine a réveillé une intense pulsion animale en moi ; je sentais ma chatte s’éveiller à son tour.
Après avoir défait sa ceinture et libéré ses couilles, je les ai léchées avec ma langue, puis parcouru la hampe de haut en bas, tout en continuant de le branler de ma main trempée de salive. Sébastien, de sa voix rauque, m’a suppliée de prendre sa bite entièrement dans ma bouche. Obéissante, je m’exécutai.
Je tétai son gland encore quelques instants, puis j’avalai sa queue jusqu’à ce qu’elle touche le fond de ma gorge. Malgré le haut-le-cœur et les larmes aux yeux, j’aimais le plaisir que je lui procurais, entendu dans ses gémissements. Pendant que je le suçais, je massais ses couilles pleines, tandis que mon autre main cherchait sa bouche. Je glissai deux doigts entre ses lèvres, et Sébastien les lécha aussitôt avec talent, évoquant d’autres caresses dont je me souvenais. Je l’imaginai léchant ma chatte jusqu’à l’orgasme, son visage souriant trempé de mes sucs.
Sébastien prit ma tête entre ses mains, pressant ses lèvres contre les miennes. Il lécha ma bouche avec passion, partageant le goût de sa queue mélangé à nos salives, m’excitant tellement que je sentis ma mouille traverser mes vêtements. Dieu, que j’avais envie de lui !
Je retirai mon pantalon et mon slip. Sa main prit possession de mon sexe, son doigt parcourant ma chatte de haut en bas, très légèrement, juste pour me faire languir. Puis, il lécha son doigt en me regardant d’un air terriblement coquin.
Sa bite retrouve le chemin de mes lèvres, je la tête et la suce avec tant de plaisir que je fais à mon tour entendre des gémissements dont le son est étouffé par la belle queue qui tend mes lèvres. Ses doigts fouillent l’entrée de mon vagin, puis il me les donne à lécher. J’aime ce goût marin, il m’excite presque autant que le goût de la queue…
Je continue de sucer sa belle pine pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’il me dise, d’une voix très enrouée par l’excitation :
- Regarde la cabine du camion. Tu vois cet homme qui nous observe ?
Je lève la tête en direction du camion, et j’aperçois un homme, plutôt jeune, qui nous fixe du regard comme s’il était en proie à une grande excitation. Je le vois distinctement derrière la vitre, car l’éclairage est maintenant allumé dans la cabine. Pendant que je l’observe, il baisse la vitre du côté du passager. Veut-il ainsi que nous sachions qu’il nous regarde ?
Sébastien, sans doute en réponse au voyeur, éclaire à son tour et ouvre la fenêtre de son côté, puis me dit :
- Plie tes genoux et montre-nous ta chatte, diablesse. Branle-toi, caresse ton bouton, j’ai envie de te regarder pendant que tu te masturbes, et que cet inconnu profite du spectacle avec moi. Jouis fort pour nous, mon amour !
Je replie les jambes, pose un pied sur le tableau de bord pour que ma chatte soit bien visible, et commence à caresser ma fente chaude et trempée. J’y enfonce mes doigts tandis que je pince mon clitoris bandé entre le pouce et l’index, et le fais tourner sur lui-même. Cette caresse est si jouissive que je me demande combien de temps encore je vais tenir.
Sébastien, qui a pris sa bite dans la main, se branle lui aussi. Ses yeux sont rivés sur mon entrecuisse, et il respire de plus en plus vite. Il a une façon bien à lui de se masturber en tenant sa queue avec la paume sur le dessus et le pouce dessous, ce qui fait que même lorsqu’il est bandé comme un âne, sa queue pointe légèrement vers le bas. Je ne saurais dire pourquoi, je trouve ce qu’il fait très cochon et follement excitant.
Je lève alors les yeux vers l’inconnu, et prends vraiment conscience de l’excitation dans laquelle me plonge cette situation inédite. J’adore ce rôle de chienne vicieuse s’offrant au regard d’un voyeur qui doit être aussi bandé que l’est Sébastien à cet instant. Je crois même que je l’entends gémir tant il est ému par la vision de la salope qui exhibe sa chatte sous ses yeux.
- Je ne pourrai pas me retenir longtemps. Je suis proche de jouir.
- Ahhh ! Ma pute chérie. Tu m’excites. Moi aussi, je vais bientôt décharger. Comme dans ton cul hier soir. Tu aimes que je te défonce ? Dis- le-moi, dis-moi que tu aimes sentir ma queue dans ton cul. La prochaine fois, je planterai ma pine jusqu’au fond de ton trou noir, devant une salle pleine d’inconnus, dans un cinéma porno. Tu aimerais ? Tu te fouilleras la chatte avec ta main cochonne devant tous ces mecs qui se branleront en te regardant, et qui déchargeront partout sur toi. Allez, dis-moi que tu aimeras. Tu verras comme je te ferai jouir, vilaine petite fille sale.
- Oui, j’aime sentir ton manche pilonner mon trou noir. Tu me fais du bien. Tu me fais jouir. J’aime quand tu me mords les fesses, que tu les claques jusqu’à ce qu’elles soient toutes rougies. J’aime sentir ta queue quand tu l’enfiles dans mon cul. Et je crève d’envie que tu me le fasses devant tous les inconnus qui viendront décharger sur mon visage et dans mes cheveux de salope. Je crève d’envie que tu me le fasses devant ce voyeur, là maintenant, tout de suite ! Encule-moi, mon mâle !
Sébastien me fait sortir de la voiture. Il me demande d’allonger le haut de mon corps sur la banquette et de lui présenter mes fesses, qu’il écarte de ses deux mains. Il fait alors glisser son chibre de haut en bas de ma fente pour en recueillir la mouille. Il n’a aucun mal, je suis trempée. Je râle comme une damnée tant je suis excitée à la pensée que cet homme nous regarde, et qu’il fourbit son manche jusqu’à lui faire pisser son jus. Sébastien crache dans sa main, humecte bien mon anus et le masse jusqu’à ce qu’il se détende. Il y enfonce doucement sa bite. Il me fore de sa queue. Je la sens qui me parcourt, et je cambre le dos pour qu’il s’enfonce jusqu’à la garde. D’une main, je caresse mon clitoris pendant qu’il se retire et me pénètre à nouveau jusqu’à ce que ses couilles pleines de bon foutre tapent sur ma chatte trempée. À chaque nouvel assaut, il grogne comme une bête. Je sens ses mains se crisper sur mes hanches au rythme de son plaisir. De mon autre main, j’introduis alors quelques doigts dans mon vagin, qui est devenu très étroit tant la bite de Sébastien est grosse dans mon autre orifice.
Cette enculade est si jouissive que j’en oublie pendant un instant que nous ne sommes pas seuls. Je tourne soudain la tête en direction du camion et je vois que l’inconnu est en train de se branler en nous regardant. Sa bouche est entrouverte, son regard nous fixe avec une telle intensité que je suis persuadée qu’il est tout près de décharger.
Je suis si excitée à l’idée qu’il va cracher son foutre, qu’il n’en faut pas plus pour que cette vision déclenche mon orgasme. Je cambre les reins à la rencontre de la queue de Sébastien. Mon vagin pulse autour de mes doigts. Je jouis comme une damnée en ne quittant pas du regard l’inconnu qui se branle de plus en plus vite ― je le devine au mouvement de son bras en s’imaginant sans doute qu’il lèche ma chatte ou qu’il me défonce avec son pieu.
Pendant que je crie mon plaisir, Sébastien jouit à son tour et crache son foutre à grands jets sur mes fesses.
Presque à l’unisson, le visage de l’inconnu se contracte. Il renverse la tête vers l’arrière tandis qu’il décharge à son tour. Ses gémissements sont si intenses qu’ils nous sont perceptibles…
Je trouve cette communion dans le plaisir terriblement bouleversante. Sébastien se retire de mon trou secret, et me prend dans ses bras. Je ferme les yeux un moment pendant que nous revenons au calme. Lorsque je les ouvre à nouveau, la lumière de la cabine est éteinte, et l’homme semble avoir disparu. Sébastien me demande alors :
- est-ce que ça t’a plu qu’il te regarde ?
- oh oui, tu n’as même pas idée ! de penser que j’ai réussi à exciter cet inconnu suffisamment pour qu’il crache son foutre… pendant que tu me défonçais le cul avec ton manche, que je jouissais comme une damnée, tandis que j’entendais vos voix qui me disaient l’intensité de votre plaisir… et de savoir que cet homme ne saura jamais qui je suis, mais que le souvenir de notre rencontre dans ce parking de restaurant restera cependant à jamais gravé dans sa mémoire, tout ça m’émeut au-delà des mots.
- je viens de découvrir quelque chose de moi que je ne connaissais pas encore, et j’ai bien l’intention de partager avec toi ce nouveau fantasme aussi souvent qu’il te plaira, mon amour.
Après nous être rhabillés, nous sommes repartis vers la ville sans jamais mettre les pieds dans le restaurant. Je me souviens que j’ai dormi tout le long du trajet jusqu’à la maison, tant ma jouissance m’avait enlevé toute énergie… mais pas pour longtemps…