En entrant dans le wagon, une douce chaleur contrastait avec le froid extérieur, offrant une sensation réconfortante. Peu à peu, les sièges se remplissaient, bien que beaucoup de places restaient encore libres. La ville éclairée par les réverbères défilait à travers les vitres, sous les yeux des quelques voyageurs. Bientôt, ces lumières se firent plus rares, laissant place à de vagues ombres de champs et de forêts, non loin de la ligne de chemin de fer.
Le paysage devenant difficile à percevoir, les voyageurs se tournèrent vers d'autres loisirs : lecture, écoute de musique, ou un petit somme. Le silence de la nuit semblait avoir traversé les parois du train pour s'installer dans le wagon. Seuls le son des roues sur les rails ou le chuchotement d'individus étaient perceptibles.
Quelque temps après le départ du train, peut-être bien une demi-heure, le train ralentit, puis s'arrêta complètement. Le conducteur annonça une avarie sur la voie, due aux mauvaises conditions climatiques, sans pouvoir estimer la durée de la réparation. Les voyageurs tournèrent la tête vers la fenêtre et observèrent la neige qui tombait en gros flocons, créant une atmosphère tranquille. Contrairement aux attentes, les passagers ne montrèrent aucun signe d'agacement et attendaient tranquillement.
Un jeune couple somnolait, elle blottie contre lui, caressant machinalement sa cuisse. Lui, les yeux fermés, se concentrait sur la sensation de la caresse, espérant qu'elle irait plus loin. La pensée d'une possible fellation lui provoqua une érection. Il demanda discrètement à sa femme de le branler, ce qu'elle fit sans poser de questions, avec une familiarité déconcertante. D'un geste expert, elle frictionna son sexe par-dessus le pantalon.
À côté, un homme les regardait avec envie. Il trouvait la jeune femme terriblement sensuelle. Observant la scène, il fut invité par la femme à se joindre à eux. Sans hésiter, il déboutonna sa chemise, libérant ses seins appétissants, et se jeta dessus, les embrassant avec avidité.
Encouragé par la réponse positive de la femme, il plongea la main sous sa jupe, caressant son sexe mouillé. Ses doigts agiles lui arrachèrent des gémissements de plaisir. Excitée, elle ouvrit la braguette de son mari et demanda à l'homme de faire de même. Bientôt, un sexe dans chaque main, elle procurait du plaisir aux deux hommes. Les ébats du trio attirèrent l'attention d'une femme d'une cinquantaine d'années. Subjuguée, elle retira son gilet, révélant sa peau nue sous un petit pull bleu. Son ami, la voyant se déshabiller, lui proposa son aide. Il retira délicatement son pull et fit glisser sa jupe, caressant ses courbes avec désir.
Accroupi à ses pieds, il embrassa délicatement sa culotte en dentelle noire. Elle glissa une main sous la dentelle et commença à se caresser. Son ami, les yeux pleins de larmes d'émotion, regardait avec admiration. Finalement, elle lui demanda de la faire jouir avec sa langue. Il s'exécuta avec dévotion, intensifiant son plaisir.
Le mari, les yeux fermés, observait la scène en silence, perdu entre rêve et réalité. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il vit son voisin de siège, celui qui avait pu profiter des faveurs de l'inconnue, la déshabillant et la caressant avec passion.
Dehors, la neige continuait de tomber, créant une atmosphère paisible à l'intérieur du wagon. Le silence était seulement interrompu par des gémissements de plaisir. Les ébats se poursuivirent jusqu'à ce que les trois participants atteignent l'orgasme, leurs râles de plaisir se mêlant aux bruits du train.
Bientôt, d'autres passagers, inspirés par l'atmosphère érotique, commencèrent à se dévêtir et à s'embrasser. Les cinq jouisseurs, repus, admiraient le spectacle. Des corps se mêlaient, des râles de plaisir se faisaient entendre.
Le conducteur, comme s'il avait attendu la fin des festivités, annonça la reprise imminente du voyage. Le train retrouva son rythme, et les voyageurs, se rhabillant, reprirent leurs occupations initiales. Arrivé en gare, le train avait perdu son manteau blanc, et les passagers retournèrent à leur vie quotidienne, comme si tout cela n'avait été qu'un rêve.